Journal numérique d'un pilote
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Journal numérique d'un pilote
Extrait de Journal numérique : pilote du Vaisseau de Classe Cargo Chalutier III – Le Polyakov Bob Flanigan.
Date inconnue dans le secteur de Babylon 4.
Alors que la transaction avec Gépéto était terminée, nous nous préparâmes à repartir et surtout à subir un coup fourré de la part de ce Gépéto.
Cela n’y coupa point, nous nous fîmes attaquer sans sommation. La bataille spatiale fut éprouvante et me ramena quelques années en arrière lorsque j’étais jeune pilote dans la compagnie Blue Tower. Je pu alors constater que je m’étais un peu encrouté depuis ma retraite. Je me rendis aussi compte qu’un vaisseau cargo était moins sensible au pilotage sportif qu’un modèle équivalent de type militaire.
Naviguer dans ce champ de déchets et d’astéroïdes me nécessita pas mal de concentration. Il était dommage que je n’aie pas à disposition un peu d’amphétamine.
…
Les Silicates nous avaient harponnés et ils commencèrent leur assaut sur le vaisseau.
…
Lorsque que l’ombre nous submergea, nous vîmes la mort en face.
C’était comme irréel et nous restâmes inertes comme aspiré par l’immensité du vaisseau Reavers.
Lorsque le vaisseau des silicates fut avalé dans l’antre de l’immense croiseur, je me battais encore pour redémarrer le nôtre.
Lorsque enfin nous pures nous propulser, nous serrâmes tous les fesses en espérant qu’une seule prise pour aujourd’hui leur suffirait.
…
Lorsque mollement nous nous amarrâmes à la Station de Babylon 4, je tapotai les avant- bras du fauteuil de pilotage du « Polyakov » tout en me disant :
« Je parie que la prochaine fois, tu n’arriveras pas à nous ramener »
Fin de l’extrait.
Date inconnue dans le secteur de Babylon 4.
Alors que la transaction avec Gépéto était terminée, nous nous préparâmes à repartir et surtout à subir un coup fourré de la part de ce Gépéto.
Cela n’y coupa point, nous nous fîmes attaquer sans sommation. La bataille spatiale fut éprouvante et me ramena quelques années en arrière lorsque j’étais jeune pilote dans la compagnie Blue Tower. Je pu alors constater que je m’étais un peu encrouté depuis ma retraite. Je me rendis aussi compte qu’un vaisseau cargo était moins sensible au pilotage sportif qu’un modèle équivalent de type militaire.
Naviguer dans ce champ de déchets et d’astéroïdes me nécessita pas mal de concentration. Il était dommage que je n’aie pas à disposition un peu d’amphétamine.
…
Les Silicates nous avaient harponnés et ils commencèrent leur assaut sur le vaisseau.
…
Lorsque que l’ombre nous submergea, nous vîmes la mort en face.
C’était comme irréel et nous restâmes inertes comme aspiré par l’immensité du vaisseau Reavers.
Lorsque le vaisseau des silicates fut avalé dans l’antre de l’immense croiseur, je me battais encore pour redémarrer le nôtre.
Lorsque enfin nous pures nous propulser, nous serrâmes tous les fesses en espérant qu’une seule prise pour aujourd’hui leur suffirait.
…
Lorsque mollement nous nous amarrâmes à la Station de Babylon 4, je tapotai les avant- bras du fauteuil de pilotage du « Polyakov » tout en me disant :
« Je parie que la prochaine fois, tu n’arriveras pas à nous ramener »
Fin de l’extrait.
Bob Flanigan- Charlotte
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Date d'inscription : 01/02/2008
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