Chez les Mordino

Décidez de qui y va.

Je m'absente pour quelques jours.

Quand je rentre, je voudrais lire ici un texte me décrivant plus ou moins schématiquement qui vous allez voir et ce que vous leur dites.
Je vous ai déjà décrit les lieux à l'oral.

Putain ça fait mal ! Santiago lutte pour se concentrer sur autre chose. Il voudrait qu'on s'occupe de lui, que le doc lui recouse ses trous pendant qu'la petite rachel lui ferait un anesthésiant buccale en lui exposant le sien.
Putaaaain ! Les voilà déjà qui partent avec le tonton, le laissant là, avec sa jambe qui pleure du sang, reste plus que la gamine mordino et sa nouvelle super copine la nièce hystérique qui lui prépare un parfait déguisement de péripatétipute...

Bon c'est pas tout ça, mais on a un colis à livrer.

Un maquereau et ses deux morues, au moins ils devraient passer inaperçu.

[quelques questions hrp :
-Santiago est en état de marcher à peu près normalement ou il avance à deux à l'heure en poussant des petits cris plaintifs à chaque pas ?
-Jane a toujours ses menottes ?]

Santiago souffre, mais en serrant les dents et en s'appuyant sur le bâton de ski, ça va.

Jane a toujours ses menottes.

Imagineons que Rita se fait mettre la perruque noire et que vous détachez ses pieds. Voilà, plus ou moins méconnaissable.

A part ça, j'attends toujours.

Une fois la captive méconnaissable sous sa perruque et son maquillage de fortune, Santiago s'approche de la miss Mordino. Il lui détache d'abord les jambes puis se redresse pour lui retirer son bâillon. Il hésite un instant, et si cette petite conne se mettais à beugler en pleine rue ? Mieux vaut prévenir que guérir, Santiago dégaine un calibre et en pose le canon froid sous son cou délicat.

Écoute moi bien petite, parce que j'vais pas m'répeter, tu vas nous suivre gentiment chez ta môman, au moindre petit cri, à la moindre tentative de fuite, j'te colle une balle dans le bide, t'as saisi ?

Le flingue glisse lentement contre sa peau, passe entre ses sein, sur son bas ventre pour finir par rendre une visite impromptue dans la culotte de la jeune femme.

Tu sais petite, que j'te livre avec ou sans utérus, pour moi c'est le même tarif, alors si tu projette d'un jour avoir des mioches j'te conseil de rester discrète.

Il lui détache finalement le bandana qui l'empêchait de causer et recule lentement en direction de Jane tout en maintenant sa prisonnière en joue.

File moi tes menottes Jane, j'vais m'attacher à elle...euh, t'as encore les clés, hein ?

[j'attend Jules, ou je continue tout seul ? ]

Ca c'est une bonne question...

En fait je me dis que je ne devrais pas vous faire jouer tout ça. Le forum c'est vraiment pas concluant.

Je pense vous poster un texte récapitulatif des évènements avant la prochaine session.